J'ai deux questions. Tout d'abord, je n'ai pas compris pourquoi on recourait, pour repousser quelque 1 015 amendements, à un article jusqu'alors très peu utilisé, et uniquement dans des cas très ponctuels.
Ensuite, lorsque nous avons évoqué la possibilité d'un « caprice du Président », j'ai cru percevoir un haussement d'épaules (Exclamations sur les bancs du groupe UMP), comme s'il n'était pas permis d'avoir de doutes à cet égard.Dans une vraie démocratie, on a le droit d'exprimer des doutes sur les motivations personnelles d'un homme public, fût-il le Président de la République lui-même.