Certes, les opérations de lutte contre l'orpaillage illégal doivent être développées et poursuivies. D'ailleurs, l'État y consacre des moyens. Les effectifs de la police aux frontières sont passés de 178 à 250 entre 2002 et 2007, ce qui veut dire qu'il prend toute sa part et qu'il a conscience de la difficulté de la situation.