D'aucuns ont émis certaines réserves sur l'analyse développée dans l'exposé des motifs de la proposition de loi, s'agissant notamment des choix effectués par nos voisins européens. Je voudrais dissiper tout malentendu, car je n'ai voulu choquer personne, et si c'est le cas, je le regrette. Ce que je veux dire, c'est que notre société a connu ces dernières années des évolutions importantes, attestées, par exemple, par les études du Conseil économique et social.
Face aux évolutions de la société, nous avons un devoir de pragmatisme pour trouver des solutions. Nous ne voulons pas la généralisation du travail dominical, mais la prise en compte des situations spécifiques. C'est pourquoi un amendement a été adopté en commission, qui réaffirme avec force le principe du repos dominical.