Je termine, monsieur le président. (« Ah ! » sur plusieurs bancs du groupe UMP.)
L'arrivée de la crise, que vous n'avez su empêcher faute de la comprendre, va d'abord frapper les ménages moyens et pauvres, ce qui ne vous a nullement incité à aller vers plus de justice fiscale. Vous avez défendu bec et ongles l'injustifiable bouclier fiscal, alors même que le président de la commission des finances a fait la brillante démonstration que, combiné avec les niches fiscales, il aboutissait à des iniquités.