Qu'auriez-vous dit si le Gouvernement n'avait pas permis l'accès à ce crédit, ni aux épargnants de récupérer leurs liquidités ? C'était la priorité et c'est ce que nous avons mis en oeuvre.
Parallèlement, il fallait agir sur la situation économique. C'est ce qu'a annoncé le Président de la République la semaine dernière en prenant des mesures extrêmement fortes, attendues par notre industrie.
Je pense notamment à la réforme de la taxe professionnelle qui pèse sur nos investissements. Dorénavant, les nouveaux investissements seront exonérés de cet impôt. C'est un signal fort que nous envoyons en direction des nouveaux investisseurs ou de ceux qui sont présents sur notre territoire.
Je pense aussi au fonds qui a été créé et qui permettra de soutenir nos grands groupes industriels qui en ont aujourd'hui besoin...