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Exactement. Elle est parfaitement au courant de tous ces problèmes. Par conséquent, ne me dites pas que l'administration fiscale ne sait pas ce qui se passe. Si vous franchissez la porte de l'une de ces banques pour y déposer de l'argent à titre personnel, on vous prévient qu'en déposant à titre personnel, on s'expose un prélèvement forfaitaire...
Nous sommes en train de parler d'un sacré sujet, monsieur le président. Et j'ai accepté de défendre ces deux amendements en même temps pour ne pas y revenir deux fois. Hier soir, quand l'Assemblée a voté 6 milliards de garantie, il n'y avait pas de problème de frilosité juridique, il n'y avait pas de complication, il fallait y aller ! Et ce mat...
Pardon ?
Je crois que cela gêne la majorité, et jusqu'à nouvel ordre, vous faites partie de la majorité, n'est-ce pas ? (Vives protestations sur les bancs du groupe UMP.)
Je comprends vos réactions, mesdames et messieurs de la majorité. Vous faites sauter la demi-part au Sénat, mais vous nous avez fait voter hier soir 75 000 euros de dégrèvement pour le logement locatif. Je comprends que vous soyez gênés aux entournures.
Mais prenez bien conscience de la gravité de cette crise. Et sur ces sujets, la fraude fiscale et les paradis fiscaux, nous n'allons pas en rester à quelques amendements à l'occasion d'un collectif budgétaire. On fera des évaluations, et aussi de la pédagogie à l'adresse des Françaises et des Français. Parce qu'il n'est pas admissible de demand...
Des transactions discrètes !
Sans vouloir en rajouter, monsieur le ministre, j'appelle une nouvelle fois votre attention sur le fait que tous les efforts de régulation que vous ferez par ailleurs seront sans effet si vous n'attaquez pas le problème de front. On dit qu'on ne peut rien faire si les États-Unis, et le Japon également, ne prêtent pas une oreille attentive. J'en...
Malheureux ! Sur le foie gras, si, bien sûr ! (Sourires.)
Et de Mme Thatcher !
C'est de nouveau le cas !
Sur 26 !
Allez le dire aux Anglais !
Ce n'est pas le sujet !
Ce n'est pas vrai !
Vous verrez ce que votre relance par l'investissement donnera !
La discussion autour de l'offre et la demande, cela fait cinquante ans qu'elle dure Et ce n'est pas le Café du Commerce, monsieur Chartier, cela vient tout droit de Dauphine ! Tout comme moi, monsieur le ministre, vous avez eu une expérience professionnelle ; vous aussi, monsieur Chartier. Avez-vous déjà vu un chef d'entreprise vous expliquer...
Cela ne va pas augmenter leur chiffre d'affaires !
Vous pouvez toujours applaudir Cest là une vieille revendication du CNPF, reprise par le MEDEF, et on en comprend les raisons. C'est une amélioration de la trésorerie, je ne le conteste pas. Le problème, monsieur Chartier, c'est que vous persistez à tout confondre.
Lorsqu'on est chef d'entreprise, on préfère avoir un crédit de campagne et un chiffre d'affaires en expansion plutôt qu'un chiffre d'affaires en contraction avec une trésorerie qui s'améliore ; parce qu'à la fin de l'exercice, cela fera tout de même des pertes !