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Sur le plan militaire, les hommes de la force internationale d'assistance à la sécurité, à mesure qu'ils étendent leur contrôle sur de nouvelles régions d'Afghanistan, se voient opposer une résistance sans commune mesure avec celle de 2001. En avançant dans des zones considérées comme des bastions talibans, les soldats de la force internationa...
J'ai confiance dans la formation et le professionnalisme de nos armées et je leur redis ma confiance aujourd'hui parce que ces hommes et ces femmes sont formés utilement pour leurs missions. Cela étant monsieur le Premier ministre, monsieur le ministre de la défense, nous entendons, depuis quelques jours, des témoignages, non pas sur la format...
Cette intervention était encore nécessaire afin de combattre l'obscurantisme du régime instauré par les talibans. Pour reprendre d'ailleurs l'expression de Lionel Jospin, il s'agit de mettre un terme à la tyrannie à laquelle le peuple afghan avait été condamné. Vous souvenez-vous des scènes de lapidation publique dont les maîtres de Kaboul avai...
Cet objectif, monsieur le Premier ministre, vous l'avez réaffirmé. Il le fallait ! Il doit nous amener aussi à préciser les moyens que nous devrons mettre en oeuvre pour y parvenir. En tous cas, les bases d'un État moderne ont également été jetées : le gouvernement afghan est issu d'élections législatives et présidentielles, et nous y avons con...
Monsieur le président du Congrès, monsieur le président du Sénat, monsieur le Premier ministre, madame la garde des sceaux, monsieur le secrétaire d'État chargé des relations avec le Parlement, mes chers collègues, le rendez-vous que nous avons aujourd'hui, à Versailles, n'est pas un jeu de rôles ; c'est un rendez-vous important pour l'avenir d...
Je ne comprends pas la logique de ceux qui, jour après jour, critiquent l'hyperprésidentialisation du régime et se refusent aujourd'hui à voter un rééquilibrage de nos institutions en faveur du Parlement. La question de la présidentialisation du régime s'est posée au moment du quinquennat en 2000. Elle a fait du Président l'acteur et le meneur...
Et je le redis à nos collègues socialistes : je ne comprends pas leur attitude. Ils devront s'expliquer devant les Français sur ce refus, avec tous ceux qui auraient la tentation de voter « non ».
Car si nous n'adoptons pas ce projet de loi, nous resterons avec un Parlement corseté. Je tiens à saluer, comme le Premier ministre, le travail du comité présidé par Édouard Balladur, auquel ont participé des personnalités de toutes sensibilités.
Dans ses recommandations, ce comité a rappelé l'impérieuse nécessité démocratique d'adapter nos institutions. Il a pointé leurs dysfonctionnements et les errements provoqués par les révisions constitutionnelles successives, adoptées sans que l'équilibre global de nos institutions ait pu être repensé. Nous en avons connu neuf en quinze ans ! Le ...
avec l'ensemble des parlementaires, au premier rang desquels Jean-Christophe Lagarde, que je tiens personnellement à saluer pour son engagement. Nous avons apporté à ce débat ce que nous pensons être juste et utile au pays. Nous nous sommes battus, au Nouveau Centre, avec nos amis du groupe Union centriste du Sénat, contre l'instauration d'u...
Bravo !
Excellent !
Très bien !
Nous ne disposons que d'une heure, je souhaiterais que l'ensemble des groupes politiques puissent s'exprimer, et je vous demande, mesdames et messieurs les députés communistes, de respecter, vous, le « oui » à l'Europe. Vous êtes pour le « non », respectez le « oui » ! (Applaudissements sur les bancs du groupe Nouveau Centre et du groupe de l'U...
Quel spectacle ! Franchement ! Au moment où tant de peuples s'interrogent sur leur destin, où tant de personnes se cherchent et cherchent à savoir ce que nous pensons, ce que nous voulons pour l'avenir, cela donne vraiment du Parlement français une drôle d'image !
Monsieur le président, monsieur le Premier ministre, mes chers collègues, cette semaine, un peuple européen, le peuple irlandais, a en effet dit « non » à un traité européen. En 2005 déjà, les Français et les Néerlandais avaient majoritairement rejeté un traité constitutionnel. L'importance du « non » irlandais au traité de Lisbonne ne doit pa...
Il faut avoir le courage de le dire ici : un fossé s'est creusé entre l'Europe et les peuples de l'Europe.
La France, vous l'avez d'ailleurs redit, monsieur le Premier ministre, avec beaucoup d'engagement, aura, comme à chaque étape de la construction européenne, une grande responsabilité, un grand rôle à jouer. Elle devra redonner du souffle, parce qu'il en faudra.
Du souffle, d'abord, pour agir. Parce que si l'on veut sortir de cette impasse, il faudra agir pour réconcilier les Européens avec cette belle idée, cette grande idée, que pour peser dans le monde, il faut être uni et continuer à travailler ensemble au sein de cette Europe. Cette grande et belle idée doit continuer à être portée avec enthousias...
Face à cela, monsieur le Premier ministre, il ne faut pas céder aux tentations faciles du repli national.