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...e de mesures rapides, en attendant le débat sur la loi de modernisation de l'agriculture en mai ou juin prochain, puis sa mise en oeuvre dans des délais non définis. Poursuivant votre argumentaire de pure forme, vous m'avez invité à patienter pour traduire sous la forme d'amendements l'essentiel des dispositions du texte. Je vous remercie de ce conseil, mais il n'était pas nécessaire à ma détermination ! Au demeurant, nous avons l'habitude des scénarios à rebondissements sur certains amendements, qui paraissent si consensuels que la majorité s'acharne à trouver tous les subterfuges imaginables pour les affaiblir ou les contester ! Vous le savez, mes chers collègues, nous ne connaissons pas précisément le contenu du futur projet de loi dit « de modernisation agricole », pas plus que son calendr...
Ne tirez pas de conclusions hâtives, monsieur Néri ! Nous soutenons les principes de cette proposition et souhaitons les intégrer dans un débat plus large, lors de la toute prochaine réforme proposée par la loi de modernisation agricole. Nous ne prendrons donc pas part au vote (Exclamations sur les bancs du groupe SRC), le ministre s'étant engagé devant la représentation nationale à reprendre en compte les propositions de M. Chassaigne ainsi que les nôtres, que nous réitérons semaine après semaine. L'agriculture et les agriculteurs ne peuvent se permettre un échec, pas plus qu'ils ne peuvent se permettre de trop attendre. Aussi, monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, nous appelons à la présentation de cette loi de modernisation agricole dans ...
J'indique d'ores et déjà que le scrutin est annoncé dans l'enceinte de l'Assemblée nationale. La parole est à Mme Françoise Branget, pour le groupe UMP.
...entaire en 1970, est aujourd'hui totalement dépendante. Les pays riches, en déversant leurs surplus à bas prix, ont recolonisé le continent africain par la voie alimentaire. Un milliard d'êtres humains souffrent de malnutrition et leur nombre ne cesse d'augmenter. Il est temps, comme le demande Jacques Diouf, directeur de la FAO, de produire là où les gens ont faim. Nous devons soutenir au plan national et européen des agricultures de qualité, respectueuses de l'environnement et attachées à leurs territoires.