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...ent que la France soit montrée du doigt par le Conseil des droits de l'homme ! Mais revenons à cette proposition de loi. M. Besson nous a dit que le droit à l'hébergement des migrants était respecté et même que l'État était généreux. Cela est faux. Il suffit de songer au cas de l'hébergement d'urgence, en baisse constante. Cette politique d'aveuglement conduit non seulement à de plus en plus de violences à l'encontre des migrants en situation irrégulière, mais également à considérer comme des délinquants les personnes mobilisées face à la situation de précarité dans laquelle se trouvent des hommes et des femmes qui ont dû fuir leur pays pour des raisons politiques ou économiques. Ces personnes travaillent pour des associations comme la CIMADE, victime de son travail citoyen, de sa compétence et...