MESDAMES, MESSIEURS, Le premier Sommet de la Terre, tenu à Stockholm en juin 1972, a fait émerger les préoccupations environnementales sur la scène internationale.
Vingt années plus tard, le Sommet de Rio confirmait la prise de conscience du caractère limité des ressources naturelles et des dangers des activités humaines pour les équilibres physiques et biologiques de la planète.
Néanmoins, l'écologie s'est encore longtemps trouvée rejetée dans les dernières places de l'agenda politique, reléguée par des intérêts plus immédiats mais moins fondamentaux.
Ainsi que l'affirmait en 2002 devant l'assemblée plénière du IIIe Sommet de la Terre le Président Jacques Chirac : « Notre maison brûle et nous regardons ailleurs ». Ce n'était pas tout à fait exact ; du moins, c'était en passe de ne plus l'être.
Les traités internationaux s'inquiétaient de préservation du milieu naturel dès les précédentes décennies.
On citera pour mémoire la convention de...
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