Les Français ont appris à connaître la signification de l'acronyme AVC - accident vasculaire cérébral - qui évoque maintenant assez clairement dans leur esprit un risque d'issue fatale ou des situations de dépendance encore trop fréquentes.
Le livre de Jean-Dominique Baudy, « Le scaphandre et le papillon », récemment porté à l'écran, a illustré les lourdes conséquences de cette pathologie.
Cet ancien journaliste, entièrement paralysé à la suite d'un accident vasculaire cérébral, a transmis son témoignage au prix d'un travail de patience infini, par le seul moyen du clignement oculaire.
Pourtant, contrairement aux accidents cardiaques, les Français ne savent pas suffisamment reconnaître les premiers signes d'un AVC. Du point de vue de la prise en charge thérapeutique, la neurologie, discipline médicale chargée de soigner les victimes d'AVC, a contribué à l'essor d'une spécialité nouvelle, les soins neuro-vasculaires.
Dans ce cadre, deux progrès majeurs...
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