cosignée par Arlette Grosskost, Bérengère Poletti, Chantal Bourragué, Françoise Branget, Françoise Hostalier, Henriette Martinez, Pascale Gruny, Valérie Boyer, Alain Moyne-Bressand, André Wojciechowski, Bertrand Pancher, Christian Ménard, Christian Vanneste, Claude Bodin, Daniel Fasquelle, Daniel Fidelin, Daniel Spagnou, Didier Quentin, Dominique Dord, Francis Saint-Léger, François Calvet, François Vannson, Gabriel Biancheri, Gérard Voisin, Guy Geoffroy, Guy Teissier, Jacques Remiller, Jean-Charles Taugourdeau, Jean-Marc Nesme, Jean-Pierre Decool, Jean-Yves Cousin, Lionel Tardy, Lucien Degauchy, Marc Francina, Marc Laffineur, Michel Bouvard, Michel Voisin, Philippe Vitel, Pierre Cardo, Pierre Lasbordes, Pierre Morel-A-L'Huissier, Richard Dell'Agnola & Thierry Mariani
Mesdames, Messieurs, L'article 48 de la loi n° 2003-775 du 21 août 2003 portant réforme des retraites a modifié les conditions d'attribution des bonifications pour enfant prévues par l'article L. 12 du code des pensions civiles et militaires de retraite.
Désormais, les enfants nés ou adoptés antérieurement au 1er janvier 2004 ouvrent droit à une bonification d'un an à condition que le fonctionnaire ait interrompu son activité dans des conditions fixées par décret en Conseil d'État.
L'article R. 13 du même code précise que le droit à bonification est subordonné à une interruption d'activité d'une durée continue au moins égale à deux mois dans le cadre d'un congé pour maternité, d'un congé pour adoption, d'un congé parental ou d'un congé de présence parentale.
Or, le congé d'adoption, a été institué par la loi n° 76-617 du 9 juillet 1976. Il était à l'origine de 8 semaines, cette durée ayant été portée à 10 semaines par la loi n° 78-730 du 19...
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