cosignée par Françoise Hostalier, Gabrielle Louis-Carabin, Marianne Dubois, Marie-Louise Fort, Valérie Boyer, Alfred Almont, Bernard Perrut, Daniel Fasquelle, Daniel Spagnou, Didier Quentin, Dino Cinieri, Francis Saint-Léger, Franck Reynier, Gilles d'Ettore, Jacques Grosperrin, Jacques Remiller, Jean Roatta, Jean-Claude Beaulieu, Jean-Claude Bouchet, Jean-Claude Flory, Jean-François Chossy, Jean-Marc Roubaud, Jean-Michel Ferrand, Jean-Philippe Maurer, Jean-Pierre Decool, Jean-Pierre Gorges, Lionnel Luca, Loïc Bouvard, Manuel Aeschlimann, Marc Bernier, Michel Voisin, Nicolas Dhuicq, Olivier Dassault, Philippe Cochet, Pierre Frogier, René-Paul Victoria & Sauveur Gandolfi-Scheit
Mesdames, Messieurs, Le principe de la présente proposition de loi reflète le sentiment partagé par la grande majorité des agents de la fonction publique d'État devant ce qui peut être considéré comme des incohérences dans les conditions de mutations.
En effet, les textes explicitant jusqu'à présent les critères retenus dans les différentes administrations pour les mutations des fonctionnaires, ne prennent en compte principalement que l'ancienneté, la situation familiale (touchant au foyer uniquement) ou le handicap.
La loi portant droits et obligations des fonctionnaires, dite loi Le Pors, avait en effet, en 1983, établi des garanties pour les fonctionnaires : « Aucune distinction directe ou indirecte, ne peut être faite entre les fonctionnaires en raison de leurs opinions politiques, syndicales, philosophiques ou religieuses, de leur origine, de leur orientation sexuelle, de leur âge, de leur patronyme, de leur état de santé, de leur apparence physique, de leur...
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