Mesdames, Messieurs, Par décret du 26 septembre 2003, la date du 5 décembre été choisie pour rendre hommage aux morts pour la France durant la guerre d'Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie suscitant des réactions très diverses.
Cette commémoration continue de provoquer un certain nombre de débats.
Sans remettre en cause ce décret de 2003, il convient prendre acte de la situation actuelle et des clivages persistant sur cette question de la commémoration.
De nombreux anciens combattants continuent de commémorer annuellement le cessez-le-feu officiel du 19 mars rejetant ainsi le 5 décembre, unique date du souvenir dans notre pays qui n'a pas de réalité historique.
Afin de concilier des interprétations divergentes et d'apaiser définitivement la situation, il convient de compléter l'hommage aux morts pour la France du 5 décembre par une journée nationale de commémoration du cessez-le-feu officiel le 19 mars.
Cette proposition de loi frappée au sceau de...
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