Mesdames, Messieurs, La présidence française du Conseil de l'Union européenne qui s'est achevée le 31 décembre dernier semble déjà assez loin derrière nous.
Ce qu'il est convenu de dénommer, sous forme d'acronyme confinant à l'abus de langage, la « PFUE » (1), aura été marqué par un calendrier extraordinaire à maints égards.
Pourtant les dossiers continuent d'exister et d'avancer − espérons-le − nonobstant le « ballet » des présidences tournantes, et déjà certains d'entre eux ne se présentent plus sous le même jour qu'il y a quelques semaines.
En effet, le contenu des politiques communautaires ne cesse d'évoluer, parfois comme sous l'effet d'une dynamique propre.
Ce que l'on appelle la « machine communautaire » persiste, semestre après semestre, à faire mûrir des compromis et à élaborer des normes dans quantité de domaines.
Le processus législatif communautaire est généralement beaucoup plus long que notre procédure nationale.
À la...
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