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Comme quoi, quand on peut travailler sérieusement
Des deux mains !
Certes, mais cela ne vous exonère pas de l'obligation d'appliquer le règlement !
Monsieur le président, vous pourriez avoir la courtoisie de répondre à M. Rogemont. Au moins un mot ?
Quel mépris !
Je ne peux qu'inciter à mon tour le Gouvernement à répondre aux excellentes questions qui ont été posées par mes collègues : qui va payer ? Le ministère de la culture ? On sait que ses crédits fondent comme neige au soleil. Le secrétariat d'État à l'outre-mer ? Il faudrait que M. Jégo nous le dise. Par ailleurs, monsieur le président, nous som...
C'est une publication qui n'est ni de droite ni de gauche, madame de La Raudière. (Sourires et exclamations sur les bancs du groupe UMP.)
M. Jean-François Kahn n'a pas la réputation d'avoir épargné ni la gauche ni la droite ; son impertinence s'est exercée à l'égard de tous, et il a parfois eu raison. Les signataires de ce qui est un appel citoyen, et non une injonction, demandent au Parlement de renoncer à la loi qui permettrait au Président de la République de nommer et de rév...
Parmi les signatures figurant au bas de cet appel, on trouve celle d'un ancien président du CSA, M. Hervé Bourges, de l'ancienne présidente de la haute autorité de l'audiovisuelle, Mme Michèle Cotta, c'est-à-dire des personnalités du monde de la presse qui ont exercé des fonctions
Pardon, monsieur Copé ?
Merci, monsieur le président. Comme vous le voyez, il m'arrive également de vous rendre hommage. Dans le prolongement de cet appel solennel, je voudrais donner lecture d'un très bref passage de L'Esprit des lois de Montesquieu qui, à mon sens, devrait inspirer les législateurs que nous sommes :...
..« Lorsque dans la même personne ou dans le même corps de magistrature, la puissance législative est réunie à la puissance exécutrice, il n'y a point de liberté ; parce qu'on peut craindre que le même monarque ou la même assemblée ne fasse des lois tyranniques pour les exécuter tyranniquement. »
Il faut attendre cinq minutes, monsieur le président !
Il ne s'est pas écoulé cinq minutes ! (Il est procédé au scrutin.)
La suspension est de droit !
Et surtout du retard du Gouvernement dans sa politique en faveur de l'outre-mer !
D'autres articles du projet concernaient l'outre-mer, et vous n'étiez pourtant pas là pour les défendre !
Je demande la parole pour un rappel au règlement.
Monsieur le président, après Marcel Rogemont qui l'a fait très justement et avec beaucoup de fermeté, je voudrais dire à M. le secrétaire d'État chargé de l'outre-mer, que nous sommes collectivement très étonnés,
choqués par les propos qu'il a tenus tout à l'heure. Monsieur le secrétaire d'État, vous auriez certainement été beaucoup plus crédible si vous aviez été présent depuis le début des débats, particulièrement quand ils concernaient très directement l'outre-mer. Ces débats durent depuis longtemps, entend-on sur les bancs de la majorité. Or, c'es...