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Les amendements de Catherine Lemorton pour ce dossier

7 interventions trouvées.

Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, aujourd'hui même, lors de sa conférence de presse, Nicolas Sarkozy a fustigé les socialistes qui, s'ils revenaient au pouvoir, feraient « exploser la dette ». En se félicitant de sa gestion des déficits publics, et avec l'objectif de maintenir le triple A des agences de notation...

et versés au débat public pour servir de « ballons d'essai » dans l'opinion. J'ai assisté, monsieur le président Méhaignerie, avec Marie-Anne Montchamp, à une réunion sur la dépendance dans ma circonscription et j'ai pu constater ce qu'il en était. Quoi qu'en disent le Gouvernement et Mme Bachelot, la feuille de route de la droite est déjà éc...

Poids des mesures sur les seuls individus, efficacité budgétaire plus que relative : vos réformes sont loin d'être aussi brillantes que l'a annoncé le Président de la République. La situation de la branche maladie est identique. La Cour des comptes estime qu'au rythme actuel le solde de la branche ne sera à l'équilibre qu'en 2027 ce n'est pa...

avec un déficit cumulé de 75 milliards d'euros à partir de 2012. Que fait le Gouvernement pour arriver à un si brillant résultat ? Il fait porter le poids de la réduction de la dette sur les seuls individus, en n'hésitant pas non plus à le transférer sur les générations futures. Ainsi, la mise en avant de l'ONDAM comme unique outil du retour...

entre 1997 et 2002. À cette époque, le gouvernement de Lionel Jospin n'avait certes pas respecté l'ONDAM mais il avait ramené les comptes du régime général à l'équilibre tout en accroissant considérablement la qualité des services rendus, notamment grâce à la couverture médicale universelle, qui a permis à plus de deux millions de nos concitoy...

Ce sont les vrais chiffres, monsieur Bur. Comment notre pays peut-il accepter que 20 à 30 % des personnes vivant sur son territoire, dont les bénéficiaires de l'AME, renoncent à des soins pour des raisons financières ?

N'oublions pas que les renoncements d'aujourd'hui engendreront les plus grosses dépenses de demain, unanimement redoutées par des institutions, me semble-t-il, objectives, comme l'Institut de recherches et de documentation en économie de la santé, la direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques, l'inspection généra...