Découvrez vos députés de la 14ème législature !


Les amendements de Bernard Perrut pour ce dossier

9 interventions trouvées.

Monsieur Bapt, nous vous avons écouté avec attention. Vous avez parlé de « budget irréel ». N'est-ce pas vous qui êtes irréaliste ? Irréaliste, puisque vous ne voulez pas débattre, ce soir c'est le sens de la motion , alors que nous sommes au centre d'un débat essentiel pour les Françaises et les Français, au moment où le Gouvernement assum...

qui nécessitent, aujourd'hui, des moyens supplémentaires pour assurer le fonctionnement de tous les établissements ? (« Très bien ! » sur les bancs du groupe UMP.)

Monsieur Bapt, vous allez un peu vite en besogne, lorsque vous dénoncez en quelque sorte l'hôpital public. Mme la ministre vous a parfaitement répondu sur la maîtrise, sur la tarification à l'activité, sur les mesures mises en oeuvre. Vous voudriez trouver des moyens nouveaux. Lesquels ? Vous n'apportez aucune réponse. Vous n'évoquez même pas ...

Le projet de loi de financement de la sécurité sociale exprime une volonté que vous ne reconnaissez pas : la poursuite du redressement des comptes sociaux. Sans les mesures prises aujourd'hui, qui portent à la fois sur les recettes et les dépenses, nous aurions 15 milliards de déficit, tandis que le PLFSS prévoit un effort de redressement de pl...

L'objectif de maintien du déficit du régime général sous la barre des 9 milliards 8,6 milliards est clair. C'est celui que nous adopterons. Monsieur Bapt, vous ne pouvez ignorer et refuser c'est ce qui me choque le plus les principaux objectifs du texte : la clarification des comptes de la sécurité sociale par l'apurement des déficits ...

Pourtant, vous y êtes attachés. En dehors de sa remise en cause, lorsque l'on évoque le projet de loi de financement de la sécurité sociale, il faut s'attacher aux points concrets, à ceux que nos concitoyens attendent et qui sont pris en compte dans ce projet de loi de financement : la revalorisation du minimum vieillesse, la revalorisation de...

Monsieur le président, mesdames, messieurs les ministres, mes chers collègues, notre politique familiale, avec un budget de 85 milliards d'euros, soit près de 5 % du PIB, place la France au troisième rang des pays de l'OCDE. Je ne reprendrai pas les chiffres qui ont été cités. Qu'il me soit cependant permis de rappeler les 41 milliards d'euros...

Nous voulons une politique pour l'ensemble des familles. Notre politique doit s'exprimer partout, quel que soit le texte que nous abordons dans cet hémicycle, car, à chaque fois, nous devons nous poser cette question : est-ce bon pour les familles ?

Les mesures que nous prenons sont-elles bonnes pour les familles ? On a vu que ce débat a eu lieu également à propos du Grenelle de l'environnement. Enfin, nous ne pouvons dissocier de la politique familiale ce souci, cette ambition que nous avons pour l'accompagnement de nos aînés, à un moment où la longévité et le maintien à domicile exigent...