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Interventions sur "site" de Jean-Pierre Brard


5 interventions trouvées.

...pporteur comme une arme fatale contre l'offre illégale. Voilà qui doit faire sourire dans les brigades spécialisées de la police nationale ! La logique est la suivante : puisque nous ne pouvons agir efficacement contre l'offre illégale, ouvrons le marché des jeux à la concurrence et permettons aux opérateurs agréés de faire de la publicité pour toucher les joueurs potentiels et les détourner des sites illégaux, pratique qui doit conduire à l'assèchement de ces derniers, selon les termes mêmes du rapporteur et du ministre. Au-delà de l'aveu d'impuissance des pouvoirs publics dans la lutte contre les sites illégaux aveu révélateur, dans la mesure où il constitue l'une des raisons d'être de ce projet , c'est un curieux paradoxe pour des décideurs politiques que de vouloir, sous couvert de pr...

Un site rue du Faubourg Saint-Honoré, avec une filiale place Tien'anmen !

Je vous remercie, monsieur le président, pour votre sens de l'équité. Vous n'hésitez pas à tancer quelqu'un de l'UMP, qui est d'ailleurs plus le porte-voix du Président de la République que membre de l'UMP. Mais c'est un autre débat ! Madame la ministre, nous tenons beaucoup à ces amendements, puisqu'il ne s'agit pas seulement du nôtre : plusieurs disent la même chose. Vous voyez bien que c'est l'un des noeuds de ce projet de loi. Allez-vous le dénouer, ou allez-vous serrer la ...

Absolument. Madame la ministre, des questions simples vous ont été posées. Sur le site en question, Bouygues, TF1, M6 sont appelés des « partenaires ». En quoi sont-ils des partenaires ? Vous dites qu'ils n'ont rien payé. Ce qui serait pire encore, c'est que vous vous acoquiniez avec de tels « partenaires » gratuitement, si j'ose dire, que vous leur serviez la soupe sans leur faire payer leur écot. Notre collègue Patrick Bloche a fait une proposition qui pourrait être consensuelle...

...rvé que c'était une question qui se posait aux autorités de sûreté nucléaire de bon nombre de pays, et qu'elle faisait donc l'objet de discussion entre l'ASN et ses homologues ; qu'il en ressortait un souci commun d'être tout à fait clair sur le temps nécessaire pour qu'un pays partant de rien puisse construire, puis exploiter une installation nucléaire ; que cela passait, outre par le choix d'un site d'implantation, par la constitution préalable d'une autorité de sûreté, étape qui prend du temps, car une autorité de sûreté ne s'acquiert pas comme un bien sur un marché ; que l'analyse aboutissait, pour des pays partant de rien, à prévoir des délais de l'ordre de quinze ans.