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Interventions sur "généraliste" de Gérard Bapt


3 interventions trouvées.

...initialement supposé, à la suite de l'Organisation mondiale de la santé. Quant au dispositif, il est, si j'ose dire, « grippé » dans certains départements. La question de la participation des médecins traitants, sur laquelle la communication a été défaillante, reste posée. Vous avez choisi une stratégie vaccinale de masse et il semble difficile de changer de cap, alors que la vaccination par les généralistes semble fonctionner très bien dans d'autres pays, comme la Belgique malgré la question de la traçabilité, qui se pose différemment en Flandre et en Wallonie , l'Allemagne et la Grande-Bretagne. Le fait que le vaccin soit livré en flacons de 10 doses n'explique pas tout, et sans doute avez-vous aussi commandé des unidoses. Pourquoi donc ne pas impliquer les généralistes, au lieu de réquisitionn...

...rvenir ! Mais j'imagine que cela se fera par redéploiement. Il faudra beaucoup de volonté politique pour que les structures ministérielles imposent le redéploiement de postes d'enseignants des spécialités techniques vers la médecine générale. Sur le plan de la démographie médicale, c'est une discipline sinistrée ! Plusieurs de nos collègues, sur tous les bancs, l'ont fait remarquer. Les médecins généralistes ont, en moyenne, cinquante-deux ans ; ils sont aujourd'hui 50 000, mais leur nombre diminue depuis trois ans déjà. Au cours des dix ans qui viennent, 5 % des effectifs, soit 2 500 par an, partiront à la retraite, soit la moitié des effectifs actuels. Or, en 2004, seules 370 installations de jeunes médecins ont été comptabilisées. Certes, vous avez augmenté le numerus clausus : 3 500 étudiants p...

...'ophtalmologie optique malgré une volonté législative claire et unanime de l'imagerie et de la radiologie, doivent être vaincues. Nous espérons, madame la ministre, que la ministre de la santé en aura la volonté. Transferts de compétences et transferts de données sont les conditions impératives de l'organisation du premier recours au système de santé. Il faut libérer du temps pour le médecin généraliste, mais aussi valoriser le rôle de l'infirmière, notamment en reconnaissant la durée de ses études, et il faut favoriser un exercice de groupe, enrichi, notamment en zone rurale ou enclavée, par la télémédecine. Il faut aussi, bien entendu, augmenter le nombre d'étudiants qui se destinent à exercer en médecine générale. À cet égard, les données chiffrées, malgré l'augmentation du numerus clausus, ...