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Interventions sur "algérie" de Bernard Derosier


6 interventions trouvées.

Président du groupe d'amitié entre la France et l'Algérie, je fais partie des défenseurs de la notion de diplomatie parlementaire, qui peut accompagner la diplomatie des États. A cet égard, je rappelle que le président de notre Assemblée, Bernard Accoyer, et celui de l'Assemblée algérienne, Abdelaziz Ziari, ont décidé de constituer une grande commission. Nous souhaiterions qu'elle se réunisse une deuxième fois, si possible avant les élections qui auront...

Parmi l'ensemble des conventions internationales, une convention de partenariat entre la France et l'Algérie revêt un caractère particulier, ne serait-ce qu'eût égard à l'histoire de nos deux pays. Cette convention se donne pour objet de « poursuivre et approfondir le processus de refondation des relations bilatérales ». Le ministre et le rapporteur viennent d'évoquer quelques-unes de ces relations bilatérales. Il est incontestablement indispensable, si l'on veut bien considérer l'importance des relati...

Nous pourrions nous en inspirer, plutôt que de fustiger tel ou tel comportement pour des raisons qui sont, parfois, quelque peu d'intérêt local. Nicolas Sarkozy a officiellement invité en France le président de la République algérienne, M. Bouteflika : il faudrait, nonobstant le contexte, fixer une date pour cette visite. J'aimerais, monsieur le secrétaire d'État, que nous nous en disiez plus sur les perspectives d'échanges au niveau des chefs d'État. Ce sont des éléments majeurs pour faire avancer les dossiers. L'Union pour la Méditerranée, prise à l'initiative de Nicolas Sarkozy, est également une bonne idée. Néanmoins, e...

Je n'ai pas indiqué, dans la conclusion de mon intervention, la position des socialistes au regard de cette convention. Je précise donc que nous y sommes favorables car, même si elle ne représente qu'un tout petit pas, c'est une étape importante dans l'évolution des relations entre la France et l'Algérie. Nous y souscrivons donc. Cela étant, monsieur le secrétaire d'État, vous n'avez pas répondu à toutes mes questions, en particulier à celles qui soulevaient des problèmes. Si je ne vous demande pas de reprendre la parole ce matin, je souhaiterais quand même que nous puissions progresser dans la résolution de ces problèmes, sous une forme ou sous une autre, par exemple en relation avec le groupe ...

qui ont pris cette initiative. Je ne l'approuve pas, mais ils ont pleine souveraineté pour le faire, et le fait de voter ici contre le projet de convention donnerait l'impression que nous désapprouvons la prise de position d'un groupe de parlementaires algériens, démocratiquement élus. Je pense que ce serait une erreur et, si je devais lancer un appel à mes collègues de l'UMP, je leur dirais : au minimum, abstenez-vous !