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Les amendements de Louis Giscard d'Estaing pour ce dossier

10 interventions trouvées.

La motion que vient de défendre M. Muet est digne d'un cours de rattrapage sur une période qu'il a bien fait de rappeler, tout comme M. de Courson est revenu sur des années antérieures. La rupture budgétaire a une date bien précise : c'est l'année 1981 qui commence à consacrer, malheureusement, la situation de dérive budgétaire à laquelle, ann...

Merci d'avoir rappelé que nous devions à un président que vous avez soutenu l'augmentation de la TVA, impôt le plus inéquitable selon vous ! Les déficits se sont accumulés, la dette était celle que nous connaissons maintenant. Puisque vous faites des comparaisons internationales, allez au bout du raisonnement. Combien de gouvernements socialis...

En effet. Si sa politique avait été un tel succès, cela se serait su ! Une politique budgétaire se mesure aussi en capacité d'emploi. À quel moment le chômage a-t-il commencé à remonter sous Lionel Jospin ? À partir de 2001. C'est d'ailleurs une des raisons pour lesquelles votre majorité a été sanctionnée par les Français, qui ont constaté que...

à comparer avec la capacité qui a été la nôtre d'injecter de la relance dans l'économie. Quant à la comparaison avec l'Allemagne, elle montre à quel point l'écart de compétitivité a été en faveur de l'économie allemande, avec la même monnaie que la nôtre. Encore une fois, c'est la démonstration qu'il faudra s'appliquer à mettre nos règles bud...

M. Brard a déjà exprimé à plusieurs reprises dans cette enceinte les points de vue qu'il vient une nouvelle fois de développer.

Il convient de souligner une forme de continuité oratoire chez Jean-Pierre Brard. Le problème, c'est qu'il manque quelque peu d'arguments spécifiques pour étayer sa démonstration. Dans la mesure où il a tout loisir de les développer en commission des finances, nous aurions tout intérêt

à aborder l'examen de ce texte sans tarder. J'invite donc l'Assemblée à repousser cette motion. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le président de la commission des finances, monsieur le rapporteur général, mes chers collègues, par-delà les effets de la crise financière internationale et du plan de relance, nous avons assisté en 2009 à une dégradation importante du solde structurel, qui appelle nécessairement plusieurs ...

il faut donc revenir à des principes simples, afin qu'ils redeviennent verts mais je sais que cette couleur ne vous agrée pas nécessairement. (Sourires.)

L'annonce faite par le Premier ministre de la réduction des niches fiscales, voire sociales, entre 2011 et 2013, qui pourrait être portée jusqu'à 8,5 milliards d'euros en fonction de la situation, est une bonne approche. Au sujet des exonérations de charges sociales résultant des lois Aubry, j'avais déposé, avec Pierre Méhaignerie, un amendeme...