Le risque existe, je ne le mésestime pas, et il serait sans doute accru si nos programmes en coopération n'étaient pas performants. Or, il est de notre devoir de montrer que ces derniers sont moins chers que ne le seraient des programmes nationaux. Aucun pays d'Europe n'aurait pu s'offrir, seul, l'A400M. La crise doit être l'occasion de réaliser des économies par la mutualisation de nos efforts.