L'amendement a le mérite de poser aussi la question de la situation de régions médicalement défavorisées. Il ne sera jamais possible d'imposer à un médecin de travailler toute sa vie à un endroit où il ne veut pas rester. Chaque année, il nous est exposé que la question sera réexaminée l'année suivante. Or, il faut au moins dix à quinze ans pour qu'une réforme en matière d'études ou de démographie médicales commence à produire ses effets. Je suis donc favorable à cet amendement d'appel ; il faut aller vite.