Ce n'est plus tolérable, c'est un autre modèle de soutien à la consommation des ménages et d'accès au crédit pour tous qu'il faut créer et promouvoir.
Dans votre défense du crédit revolving vous ne comptabilisez pas le coût des dégâts qu'il provoque : coût de gestion des dossiers de surendettement et de leurs conséquences - saisies, relogement etc. -, coût de gestion des dossiers sociaux et des accompagnements publics nécessaires pour les personnes surendettées.
Cette activité lucrative du crédit revolving est un très bon exemple de l'impossibilité de mesurer une activité économique sur les seuls critères actuels du produit intérieur brut; vous dites que son bilan économique est positif, et qu'il faut seulement corriger à la marge quelques dérives.