C'est aussi une question de moyens. Des conventionnements sont possibles comme c'est actuellement le cas avec un laboratoire du CNRS qui souhaite réaliser une étude sur l'impact de la vidéosurveillance dans l'évolution de la délinquance. De la même manière, l'INSEE met à profit les résultats de nos enquêtes mais nombre d'entre eux, notamment sur la violence dans les transports ou le sentiment d'insécurité, ne sont pas exploités.