Découvrez vos députés de la 14ème législature !

Interventions sur "tour"

7 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBernard Deflesselles :

...ent tchèque afin d'obtenir le plus rapidement possible cette signature que toute l'Europe attend. Le Conseil européen des 29 et 30 octobre, examinera, vous nous l'avez rappelé monsieur le ministre des affaires étrangères, un ordre du jour extrêmement chargé qui engagera l'avenir de l'Union dans les années futures. Je retiens tout particulièrement les questions institutionnelles et les futurs contours de la prochaine Commission, mais aussi les préparatifs de la conférence internationale de Copenhague sur le changement climatique qui se tiendra en décembre prochain. En premier lieu, il s'agira de s'accorder sur le processus de la ratification du traité et sur l'installation de la nouvelle Commission. Le mandat de l'actuelle commission se termine le 31 octobre. Il faudra donc lui assurer une ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Paul Lecoq :

...ée par les États membres sans consulter ni informer les citoyens européens, dans un laps de temps fulgurant, puisqu'elle s'était échelonnée entre le mois de mai 2007 et la mi-octobre de la même année. Ensuite, la signature du traité de Lisbonne, le 13 décembre 2007, avait marqué le top du départ de la course à la ratification. Les chefs d'État et de Gouvernement s'étaient alors entendus pour contourner les peuples, en s'assurant que les ratifications parlementaires soient préférées aux consultations populaires, l'utilisation de la démocratie représentative ayant ici pour finalité d'échapper à l'expression directe du peuple. Aussi, vingt-six États membres sur vingt-sept avaient-ils décidé de ratifier le traité de Lisbonne par la voie parlementaire. Seul le Gouvernement irlandais a dû recouri...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean Dionis du Séjour :

Cette magie c'est celle, derrière les traditionnels ballets politiques ou diplomatiques, d' une prise de conscience collective autour de la nécessité de s'engager dans la lutte contre le réchauffement climatique. Monsieur le ministre, les centristes demandent au Conseil européen de faire preuve d'audace, encore et toujours. C'est maintenant à Copenhague qu'il faudra jeter des ponts entre les grands principes commerciaux qui régissent l'OMC et notre ambition de sauvegarde écologique de la planète. C'est maintenant qu'il faut fa...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPierre Lequiller, président de la commission des affaires européennes :

Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, je voudrais à mon tour saluer le verdict formidable du peuple irlandais et la signature du président polonais.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPierre Lequiller, président de la commission des affaires européennes :

L'Europe s'apprête enfin je l'espère du moins , à tourner la page de son introspection institutionnelle et à se doter d'instruments de décision à la mesure des enjeux de son influence dans le monde. Plutôt que de subir la mondialisation, il faut contribuer à la façonner. Les moyens d'agir sont désormais sur la table : il ne manquera que la volonté de s'en saisir. Dans quelques semaines, j'en suis convaincu, cinquante nouveaux domaines échapperont à ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPierre Lequiller, président de la commission des affaires européennes :

Le Conseil européen s'apprête à capitaliser les acquis des années 2008 et 2009, qui furent, à bien des égards, celles du retour de l'Europe. Le paquet climatique nous donne en effet la crédibilité internationale nécessaire sur laquelle nous pouvons fonder une position commune, ferme et exemplaire, à la veille de la conférence de Copenhague, ce que souligne le rapport de MM. Bernard Deflesselles et Jérôme Lambert. Je pense enfin que l'Europe doit montrer sa volonté d'agir désormais comme un acteur mondial de premier plan ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAxel Poniatowski, président de la commission des affaires étrangères :

Si tel n'est pas le cas, où en est votre réflexion à ce sujet ? Le Président stable du Conseil européen devra travailler pendant deux ans et demi avec les chefs d'État et de Gouvernement qui continueront tous les six mois à assurer la présidence tournante du Conseil des ministres de l'Union. Comment ces relations, selon vous, s'organiseront-elles si on songe, par exemple, à ce qu'elles auraient été, au moment de la crise en Géorgie, entre le Président Sarkozy et la personnalité qui aurait exercé la fonction de Président du Conseil européen ? Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, le C...