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Christophe Bouillon
Question N° 121927 au Ministère du Travail


Question soumise le 15 novembre 2011

M. Christophe Bouillon attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur la situation du centre hospitalier du Belvédère situé sur la commune de Mont-Saint-Aignan en Seine-Maritime. Cette maternité publique de niveau II est une figure incontournable de l'agglomération rouennaise et même de l'ensemble de la région haut-normande et est une référence en matière de prise en charge périnatale. C'est un hôpital public de 116 lits et 6 places. Il est composé d'une maternité de niveau II (présence d'une unité de néonatologie) où naissent chaque année 3 600 enfants ce qui représente 38 % des naissances de l'agglomération rouennaise, d'une unité de gynécologie médicale et de chirurgie gynécologique, d'un centre d'éducation et de planification familiale et d'orthogénie, ainsi que d'une pouponnière (36 lits). L'établissement a toujours centré sa politique sur la patiente tant sur le plan de la sécurité physique que psychique. Cette politique est inscrite dans le projet d'établissement. L'activité de l'établissement mobilise 400 agents dont 30 praticiens et 53 sages-femmes. Jusqu'en 2008, le Belvédère a limité volontairement son nombre d'accouchements à 3 200 en refusant chaque année de nombreuses patientes. Afin de mieux répondre à la demande, ce chiffre a été porté à 3 600 accouchements en 2010. Cependant face à l'augmentation de l'activité de l'établissement, les agents poussent un véritable cri d'alarme et observent malgré de notables efforts ces dernières années que le centre hospitalier du Belvédère présente toujours un déficit financier important. Il lui demande donc de bien vouloir lui indiquer les mesures qu'envisagent de mettre en place le Gouvernement pour assurer la pérennité de cette maternité dont 90 % de l'activité se fait autour de l'obstétrique et pour laquelle les moyens de fonctionnement pour assurer le meilleur accueil possible doivent être améliorés.

Réponse

Cette question n'a pas encore de réponse.

1 commentaire :

Le 15/12/2011 à 10:16, martine desmares a dit :

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La question qu'il faudrait poser est la suivante : souhaite t-on vraiment investir dans la PERINATALITE LA PREVENTION ET LA SANTE DES FEMMES. Celles ci déjà largement spoliées par une PARITE INNACESSIBLE, se trouvent prise dans des chantages politiciens qui n'ont que faire de la VRAI PREVENTION. La vrai PREVENTION A ETE ENTREVUE DANS le plan de PERINATALITE 2004/2007 mais l'enquête périnatale 2010 montre que les VRAIS MOYENS n'ont pas aboutis. Oui il faut continuer de travaille au CAS PAR CAS autour de la naissance et du suivi de grossesse. C'est ce que réclament, hurlent car non écoutées ,les sages femmes.

LA PREVENTION C EST LE TRAITEMENT INDIVIDUEL d'une prise en charge. Celle qui rassure, protège et ouvre tous les possibles, celle qui permet de repérer ( si la formation à cet effet le permet) de repérer les "situations préocupantes" ( Nadine Morano). Si l'entretien ne peut devenir obligatoire, il doit être une NECESSITE DE LE PROPOSER AU COUPLE. Oui c'est le démarrage d'un partenariat, et s'en suit une relation de confiance UNE FEMME UNE SAGE FEMME. Ce pari porte ses fruits dans ces maternités investies qui ont moins de césariennes, moins de gestes délétères, moins de dépressions post natales, moins de consultations bébés, moins d'épisiotomies, moins de pathologie périnéales , moins de dyspareunie, moins de séparations. Mais comme toujours l'activité PHYSIOLOGIQUE est INCOMPATIBLE AVEC LA TAA. IL FAUT DE LA QUALITE ET LA QUALITE C EST LE NON ACTE EN OBSTETRIQUE ...LE RESPECT...LA MAITRISE DE SOI PAS DANS L AGIR MAIS DANS L OBSERVATION ATTENTIVE... du rythme cardiaque, du comportement du bébé , du saignement ! Ces protecteurs de la SANTE que sont les sages femmes compétentes à triple casquettes PSYCHO PEDO OBSTETRIQUE;... permettez leur de travailler et faîtes les vrais comptes !!!! A plusieurs titres la vie de FEMMES peut se révéler n'être que d'avoir un STATUT SOCIAL, UN TITRE, UN DIPLOME... mais elle est aussi l'accomplissement possible dans la maternité de son épanouissement , le fondement de notre société dont la France présent par son taux de NATALITE L 'exemple. Toutefois si on prévoit de faire sortir plus tôt les femmes sans mesurer l'impact majeur de ce qui se passe au sein de la maternité , l'erreur est avérée.

DONNEZ DES MOYENS EFFECTIFS CIBLES MAJORES DANS LES SERVICES DE SALLE DE NAISSANCE POUR LA PREVENTION authentique UNE PRESENCE PLUS IMPORTANTE AUPRES DES PATIENTES,

REVALORISEZ LES PROFESIONNELS DE LA NAISSANCE

REFONDEZ LE calcul de l'hospitalisation maternité, pour un TEMPS d'accueil suffisant à ADVENIR EN TANT QUE MERE en évitant les précipitations et les pressions pour une sortie toujours plus précoce. OUI au suivi sages femmes libérales mais en arrêtant de les spolier. Avoir bloquer leur revalorisation est injuste et réellement DISCRIMINANT vis à vis des autres professions médicales. FEMMES SAGES FEMMES VEULENT DE LA PREVENTION, DU RESPECT, DU TEMPS POUR DEVENIR PARENTS. SOUTENEZ LES ASSOCIATIONS FAMILIALES ET LES PROJETS QUI ACCOMPAGNENT LES PARENTS.

ALLONGEZ LES CONGES MATERNITES là où UN ALLAITEMENT RECOMMANDE PAR LE PNNS, par la lutte contre allergies infections précipite la reprise du travail, occasionne des coûteux arrêts maladies, alors qu'il s'agit d'une injustice majeure, OBLIGER A REPRENDRE LE TRAVAIL ,en confiant un bébé en Nourrice va à l'encontre de toutes les théories de prise en charge affective du nouveau né. SIX MOIS POSSIBLES ( non obligés ) SERAIENT une solution, à l'insuffisance de lieu de gardes, aux dépressions maternelles, aux arrêts l'allaitement précoces, exposant aux intolérances aux protéines du lait de vaches. Il fût un temps où ce rôle primordial était même valorisée par une prime d'allaitement. Il faudrait se mettre d'accord ON INVESTIT DANS LA PREVENTION et le PIB Pour la santé ¨REVENTION LE MERITE LARGEMENT.....OU ON CONTINUE LES DISCOURS CONTRADICTOIRES POLITICIENS;

JE ME CONSIDERE PLUS EXPERTE EN OBSTETRIQUE, BIEN PLUS QUE BIEN des experts ignares sur la VIE DES FEMMES, SUR L EXPERIENCE corporelle, sociale et PSYCHIQUE qu'est le devenir MERE EN RESTANT FEMME ENGAGEE DANS LES PROJETS de MAINTENIR LES FEMMES EN SANTE.

POUR LA PARITE, mais sûre de la différence SAGEMENT VOTRE

Martine DESMARES

FEMME

SAGE FEMME

CGT LE HAVRE

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