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Les amendements de Pierre Lequiller pour ce dossier

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Les décisions des sommets de l'Union européenne, de la zone euro du 27 octobre, et du G20 sont beaucoup plus importantes que ce que vous avez dit, monsieur Ayrault. Elles sont d'une ampleur historique : renoncement par les banques à 50 % de la dette grecque qu'elles détiennent, soit 100 milliards d'euros ; nouveau prêt, jusqu'à 100 milliards d'...

Quand l'avenir de la France, de l'Europe et même du monde est en jeu, il faut savoir surmonter les clivages internes sans commune mesure avec l'enjeu d'une crise comparable à celle de 1929.

Cette triste exception française s'est encore illustrée lorsque M. Papandréou, surprenant tous ses partenaires européens et sa propre majorité, a pris l'initiative hasardeuse d'un référendum, qui, du fait des délais d'application des mesures, risquait de mettre la Grèce en faillite et de la faire sortir de la zone euro. Le couple franco-alleman...

Fallait-il laisser la Grèce, en l'occurrence, se tirer une balle dans le pied et mettre en péril l'euro, l'un des plus grands acquis de l'Union ? Nous entrons dans une ère nouvelle. Au fédéralisme monétaire avec l'euro et la Banque centrale européenne doit correspondre un fédéralisme budgétaire et économique. Depuis longtemps, en France, droit...

Et gouvernement économique, cela veut dire admettre l'intervention de l'Europe dans la gestion des budgets nationaux, comme le font la Commission européenne et le FMI en Grèce et en Italie. Au niveau mondial aussi, nous entrons dans une nouvelle ère. Le Président de la République a eu raison de sensibiliser le sommet du G20, qu'il a contribué ...

Là encore, il se trompe d'enjeu : il fait de la politique intérieure. L'enjeu était de convaincre les puissances économiques partenaires, et en particulier les pays émergents, d'ailleurs émergés, que l'interdépendance est totale : pas de croissance pour eux sans bonne santé de l'Europe, qui est la première puissance économique mondiale et un pa...

Nous savons, nous, que par temps de tempête, mieux vaut avoir à la tête de l'État un vrai capitaine à la barre. Et les sommets des dernières semaines ont, une fois de plus, démontré que nous avions cette chance en la personne de Nicolas Sarkozy. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.)