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Les amendements de Jean-Pierre Brard pour ce dossier

13 interventions trouvées.

Monsieur le ministre, exception faite du discours du président de la commission des finances, le vôtre et celui du rapporteur général ont été très lénifiants.

Vous n'avez pas à confondre, monsieur Fourgous, il vous suffit de prendre votre dictionnaire, vous qui bûtes du lait montreuillois auquel vous êtes particulièrement infidèle aujourd'hui, ce que vous regretterez, je l'espère, dans l'au-delà et jusqu'à la fin des temps.

Monsieur le président, on me demande de ne pas interpeller mes collègues, mais je viens moi-même d'être interpellé.

Le rapporteur général a égrené les lignes du budget un peu comme les vieilles bigotes égrènent leur chapelet. Mais, à la fin, on n'est pas du tout plus avancé qu'au début. Vous nous avez assurés de la réussite totale du plan de relance. On se demande ce qui serait arrivé en cas d'échec. Enfin, tout va bien. Heureusement, à propos de la Grèce,...

Je vois que vous savez de quoi je veux parler. Oui, je vous ai interrogé à vingt-deux reprises au sujet de Mamie Liliane. J'y reviendrai tout à l'heure, afin de vous laisser du temps pour préparer la réponse. Une politique clientéliste ne doit pas fonder une doctrine fiscale. Didier Migaud, le premier président de la Cour des comptes, n'a pas ...

Parce que si vous l'avez lu mais que vous ne l'avez pas compris, cela ne nous avance pas beaucoup. Mais alors, bénévolement, je vous propose de vous faire une explication de texte à titre particulier.

Mais bien sûr que c'est nécessaire ! Parce que, quand je vois les propositions que vous faites, je me dis que vous avez des marges de progression pour traduire les concepts dans la réalité. Mais afin de ne pas vous indisposer, je vais faire référence à un économiste que vous préférez sans doute aux « économistes atterrés ». Il s'agit de Milton...

Oui, ils ont le sujet pour l'année prochaine. Je suis content d'avoir le soutien de notre collègue Jean-François Lamour. Cela ouvre de grandes perspectives pour le futur. Je parle de vos évolutions à vous, bien sûr, monsieur Lamour. Je vois que vous cherchez la reconversion, et une terre d'accueil. Votre politique, monsieur le ministre, n'est ...

Oui, oui, « ce n'est pas le sujet ». On s'en sort comme on peut ! J'apprécie toujours votre habileté à vous maintenir en équilibre sur le fil de funambule où vous excellez sans cesse. Jaurès, donc, disait que « toute réforme ne vaut que comme degré vers le but suprême ». Je suis sûr que vous êtes d'accord avec cela, monsieur le ministre. Et le...

C'est parce que je vous tends le miroir, afin que vous puissiez vous y voir. J'entends bien, monsieur Chartier, que vous finissez par vous faire peur, et vous prenez conscience de la cruauté de la politique que vous soutenez fidèlement. De quel droit voulez-vous conditionner l'octroi du RSA à un travail d'intérêt général non rémunéré ? Dois-je...

ChezM. Giscard d'Estaing, alors ? Si vous le dites, vous vous connaissez mieux que moi, j'apprécie que vous ne vouliez pas assumer la politique en faveur des riches de votre Gouvernement et que vous passiez l'oursin à M. Giscard d'Estaing qui, j'en suis sûr, apprécie beaucoup votre délicatesse ! (Sourires.) À chaque réforme que vous avez entr...

Ce n'est pas seulement joli ; c'est profond, c'est vrai, c'est révolutionnaire. Je comprends que vous ayez tout de suite le grand frisson.

Mais on peut le voir dans beaucoup d'endroits ! J'imagine que pour les milliardaires, la perspective que nous venions au pouvoir avec les autres forces de gauche, armés de propositions fortes, provoque le grand frisson. Nous pensons qu'une autre politique est possible, une politique sociale, économique et écologique, plus juste et au service de...