Découvrez vos députés de la 14ème législature !


Les amendements de Jean-Claude Sandrier pour ce dossier

6 interventions trouvées.

Monsieur le secrétaire d'État, il n'y avait aucune raison particulière de réserver le vote. Il était au contraire tout à fait possible de discuter et de voter chacun des articles dans la mesure où, précisément, comme vous l'avez rappelé, un vote solennel aura lieu mardi. Je n'ai jamais vu, dans cette assemblée, que, sous prétexte qu'un vote sol...

Cela vient de sortir, et c'est un peu désagréable, d'autant plus que la majorité ne court aucun risque sur ces votes puisqu'elle est présente en nombre ce matin. Si cette réserve était destinée à offrir la possibilité au groupe UMP de ne pas participer au débat, j'y verrais un geste particulièrement désobligeant à l'égard de l'opposition et de...

Vous allez donc répondre. Ensuite, ce serait une atteinte à la démocratie. Pire, cela remettrait en cause ces séances d'initiative parlementaire dont le président nous a dit que c'est en raison de leur particulière importance que leur nombre a été multiplié par trois. Chers collègues, êtes-vous prêts à débattre, à argumenter sur des questions...

Cet article 1er, qui vise à interdire les licenciements dans les entreprises versant des dividendes et recevant des aides publiques, devrait être voté par tout le monde. Le Président de la République ne proclame-t-il pas qu'il faut moraliser l'économie ? S'il est une mesure qui permettrait de le faire, c'est bien d'interdire à ceux qui ont perç...

En outre, alors que vous évoquez souvent le chiffre de 6 milliards d'euros, ce sont en réalité 8 milliards que vous avez consentis sous forme d'aides à l'industrie automobile. Les salariés des entreprises sous-traitantes, comme ceux des donneuses d'ordres, se demandent bien où est passé cet argent. Dans mon département, des entreprises comme Ti...

Je conclus, madame la présidente, en rappelant que ce qui coûte cher à la France, c'est aussi les 500 plus grosses fortunes françaises, qui, en dix ans, sont passées de 6 % à 14 % du produit intérieur brut de notre pays ; en dix ans, elles se sont enrichies de 150 milliards d'euros. Ce sont ces Français-là qui nous coûtent cher. (Applaudissemen...