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Les amendements de Jacques Valax pour ce dossier

9 interventions trouvées.

Comme le dit la formule célèbre, mes chers collègues de la majorité, vous n'avez pas le monopole du coeur. Tout comme vous, nous sommes soucieux de l'intérêt des victimes et de leur protection. Pour ma part, j'en ai assez de vous entendre vous accaparer unilatéralement le mérite de vous préoccuper des victimes. (Applaudissements sur les bancs d...

Ne m'entendant pas moi-même, monsieur le président, je me demande si mes collègues arrivent à comprendre mes propos ! (Sourires.)

Tout comme vous, nous en avons assez de l'insécurité. Tout comme vous, nous sommes conscients de la gravité du problème et de la situation dans nos quartiers. Mais nous posons le problème avec sérieux et gravité et nous voulons chercher les vraies solutions, celles qui sont efficaces.

Pour être efficaces, ces mesures, avant d'être répressives, doivent être appliquées au quotidien. À quand et c'est le voeu que je formule une politique qui conjuguerait répression parce que celle-ci est indispensable ?

Répression parce que celle-ci est effectivement nécessaire, mais aussi et surtout réinsertion parce qu'il s'agit de la condition sine qua non d'un retour à la vie normale.

Voilà la vraie mesure que nous attendons de vous. J'ajoute que le premier acte et je rejoins les propos tenus par mon collègue Jean-Jacques Urvoas qui irait dans la consolidation et de l'efficience du pouvoir législatif serait d'éviter l'accumulation des projets et des propositions de loi qui surfent sur l'émotion de l'actualité médiatique...

Cette proposition de loi qui incrimine l'intention et non le fait n'a manifestement pour but que de communiquer sur le sujet et sur la personne de ceux qui l'ont écrite.

Je termine, monsieur le président. À quand la fin de cette politique spectacle ? À quand la fin de la politique d'affichage ? Ce texte de circonstance ne se justifie pas. Voilà pourquoi je ne peux qu'approuver les interventions de Mme Batho et de M. Mamère et que je demande à mon tour le renvoi en commission de cette parodie de texte. (Applaud...

Je considère, en tant qu'ancien avocat, que les deux premières lignes de ce texte sont une mine de discussions sans fin. « Le fait pour une personne de participer » : il va falloir définir d'abord cette notion de participation. « Sciemment » : on entre, avec cet adverbe, dans un domaine essentiellement subjectif, et l'avocat qui défendra quel...