C'est pourquoi nous pensons que les investissements consacrés à la conversion écologique devraient être sortis du calcul du déficit public et de l'endettement des États européens. Sans ces investissements, l'économie européenne sera, demain, encore plus vulnérable qu'aujourd'hui aux chocs liés à l'augmentation du prix des matières premières, et notamment du pétrole.