Non. M. Bapt, que je vois sourire, le sait bien ! S'il est légitime que, dans le cadre de ce débat, vous me posiez la question, il ne serait pas légitime que j'y réponde. En effet, j'ai pris devant vous l'engagement d'attendre les travaux des assises du médicament et les conclusions des deux missions parlementaires pour apporter des réponses.