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Intervention de Alain Vidalies

Réunion du 17 novembre 2009 à 11h00
Commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la république

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAlain Vidalies :

Je demande qu'il soit établi un compte rendu intégral de cette séance ! Ce qui se passe n'est pas acceptable.

2 commentaires :

Le 18/11/2009 à 17:02, Zouze (citoyen) a dit :

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Il semblerait en effet que le déroulement de cette séance ait été plus que chaotique. Un très bon compte-rendu est lisible en ligne sur Mediapart.

http://www.mediapart.fr/journal/france/171109/sondages-de-l-elysee-les-deputes-du-president-se-surpassent-pour-enterrer-la-c

C'est quand même dingue que Mariani soit "élu" rapporteur de la commission des lois par des députés d'autres commissions sans même que la moindre explication de vote ni présentation des candidatures aie eu lieu. Delphine Batho est à l'origine de la demande de commission d'enquete, il aurait été normal qu'elle puisse au moins s'exprimer sur la question à défaut d'être rapporteur...

Un tel fonctionnement de la si prestigieuse commission des lois, censée regrouper les légistes les plus techniques, fait vraiment peur pour le fonctionnement de nos institutions....

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Le 28/12/2009 à 17:57, Le Canard Déchaîné (Lecteur averti) a dit :

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Selon le Canard du 18 novembre, le choix par Bernard Accoyer de renvoyer la validation de cette commission d'enquete devant la commission des lois avait ainsi été commentée par Nicolas Sarkozy : "Si accoyer avait dit non à l commission d'enquête c'est lui qui aurait pris laa polémique en pleine figure. Il a cherché à se protéger, ce qui n'est pas scandaleux.". C'est encore plus clair en le disant en effet.

Le président ne doutait en effet pas de cet avis défavorable avalisé ensuite par le bureau selon les souhaits de l'Elysée qui argue qu'une telle commission d'enquête sur l'Elysee remettrait en cause la séparation des pouvoirs. La présidence n'avait pourtant rien eu à redire deux ans auparavant lorsqu'une commission d'enquête sur la libération des infirmières bulgares et avait interrogé Claude Guéant en lieu et place de Cecilia Sarkozy.

Mais le président aurait piqué une crise devant ses conseillers le 12 novembre au sujet de l'intégrité de ses finances : "J'ai accepté que les Magistrats de la Cour des comtpes examinent le budget de l'Elysée. Je suis le plus transparent. Je rembourse toutes mes dépenses personnelles. Jusqu'au tube de dentifrice qui était dans l'avion !".

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