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Les amendements de Frédéric Lefebvre pour ce dossier

16 interventions trouvées.

Nous assistons, depuis ce matin, à un numéro de claquettes dont le seul objectif, très clair, est d'empêcher nos travaux.

Nous avons adopté un projet de loi sur les institutions qui donne plus de pouvoirs au Parlement, et la gauche refuse aujourd'hui le débat en multipliant les rappels au règlement sur tous les sujets sauf le texte. M. Vidalies vient à l'instant même de nous expliquer un tas de choses pour ne pas voter un amendement qu'il défend sur le fond depuis...

Cet après-midi, retenu en commission des finances pour l'audition de Mme Lagarde, je n'ai pu défendre un amendement sur le dividende salarial auquel je tenais. Je sais que vous l'avez abordé de manière assez rapide. L'un de ses éléments principaux visait à créer, pour les PME, un système spécifique d'intéressement pour les salariés qui avait po...

Je retire volontiers mon amendement. Vous avez bien compris que j'ai voulu qu'il soit discuté aujourd'hui pour prendre date avant le PLFSS. Je souhaite qu'un effort particulier soit consenti pour tout ce qui va dans le sens de la retraite. (L'amendement n° 1779 est retiré.)

Le groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche m'a fait beaucoup d'honneur en demandant une suspension de séance au sujet d'un amendement à la fois important et symbolique pour l'UMP. Chacun se souvient en effet que le Président de la République avait pris l'engagement devant les Français, pendant la campagne électorale, de réformer l...

Nous avons un débat particulièrement intéressant et je suis d'accord à peu près sur tous les points avec ce que vous venez de dire, monsieur Balligand, notamment qu'il est indispensable de moraliser le capitalisme. Et le Président de la République, qui s'exprimait à l'ONU, vient de faire des déclarations importantes en demandant qu'il y ait une...

On voit que le débat n'est pas si simple, et je remercie le groupe socialiste car un vote à l'unanimité sur ce sujet serait un moment important. En même temps, je suis sensible à ce qu'ont dit les uns et les autres. J'ai bien compris que le président Ollier posait la question en insistant davantage sur les salariés et l'intéressement, mais le ...

Monsieur le président, messieurs les ministres, chers collègues, nous examinons aujourd'hui un projet ambitieux du Gouvernement (Rires sur les bancs du groupe SRC) qui inscrit la volonté du Président de la République de mettre le partage de la valeur au centre des priorités de notre majorité pour augmenter durablement le pouvoir d'achat des Fra...

François Bloch-Lainé, directeur du Trésor après la guerre, disait que, depuis 1880, la France était malthusienne. C'est de là que l'idée du partage du travail est née, une idée coûteuse économiquement, plus de 20 milliards d'euros de dépenses par an, et suicidaire politiquement.

En France, on a longtemps cru que le partage du travail pouvait régler la question de la croissance économique et de l'emploi. Or, dans les faits, la France n'a eu ni l'une ni l'autre. Le partage du travail a rendu impossibles la modulation du temps de travail et la possibilité de travailler plus pour gagner plus. Il a augmenté le stress au tra...

J'ajoute que, quand le général de Gaulle a institué la participation, la gauche et les syndicats y étaient hostiles. Aujourd'hui, c'est agréable de voir des syndicats venir nous dire qu'il faut protéger la participation et l'intéressement, mais ils nous disent de ne pas aller trop loin, de ne pas trop bouger les choses. Aujourd'hui comme hier, ...

Cette opération transparence s'inscrit parfaitement dans ce que vient de dire Pierre Méhaignerie à propos de l'évolution des salaires en France. Heureusement pour vous que cela n'existait pas en 1999 et 2000 parce que, avec les 35 heures, les salaires ont baissé dans notre pays.

Les 50 % des salariés, souvent des PME, exclus du partage du capital doivent avoir droit eux aussi aux revenus du capital. Il faut une vraie volonté et une vraie détermination. La proposition défendue par Nicolas Sarkozy lors de l'élection présidentielle, que défend aujourd'hui l'UMP, mais pas seulement, puisqu'elle intéressait M. Balligand, l...

Vous seriez bien inspirés d'en déposer de temps en temps. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)

Plutôt que de critiquer tout le temps, une petite proposition plutôt que des amendements de blocage ou de suppression, cela ne ferait pas de mal au débat parlementaire. Ces trois impératifs sous-tendent d'ailleurs le texte tout entier. Justice sociale, efficacité économique et hausse du pouvoir d'achat sont des impératifs suffisants pour que c...

À vos yeux ne compte plus qu'une chose : le premier secrétariat du PS. Il faut s'y faire et nous nous y faisons. Nous avons, pour notre part, décidé de débattre ensemble de quelque chose qui intéresse les Français : leur pouvoir d'achat, un meilleur partage du capital. Parce que c'est l'avenir des Français qui nous intéresse, plus que l'avenir ...