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Les amendements de Dominique Orliac pour ce dossier

7 interventions trouvées.

Monsieur le président, madame la ministre, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, cette proposition de loi que nous examinons en deuxième lecture tient surtout de la fausse bonne idée, comme je l'ai déjà dit ici même en première lecture. À première vue, quoi de plus naturel que de regrouper dans une première année commune les étudiants de...

En second lieu, la proposition de loi instaure le principe d'une réorientation en cours d'année. Un étudiant sanctionné dès le premier semestre sera contraint de poursuivre ses études dans une faculté de sciences et ne pourra pas revenir vers une faculté de médecine avant un an et demi. Cette mesure ne va pas sans poser de nombreux problèmes p...

Il est particulièrement regrettable que cette proposition de loi ne prévoie aucune passerelle pour les étudiants en médecine qui s'arrêtent en cours d'études, en troisième ou quatrième année, et qui doivent repartir au niveau post-bac. De la même façon, on peut regretter le silence de ce texte s'agissant des conditions d'études et de l'accompa...

Cet amendement prévoit la rédaction d'un rapport d'information dans le but d'évaluer les conséquences de l'application de la L1 santé. Y aura-t-il un appel d'air comme on peut le craindre ce qui signerait l'échec de la réforme ? Le nombre d'inscriptions diminuera-t-il ? Envisagez-vous de donner la possibilité à certains « reçus-collés » de réal...

Cette proposition de loi portant création d'une première année commune aux études de santé et facilitant la réorientation des étudiants a tout de la fausse bonne idée. À première vue, quoi de plus naturel que de regrouper dans une première année commune les étudiants de médecine et de pharmacie ? C'est d'ailleurs pourquoi ce texte, encore récem...

Étudiants, professeurs et doyens sont unanimes à dire qu'il est impossible d'instaurer cette première année commune aux études de santé dès la rentrée prochaine. Pensons aussi aux bacheliers qui s'apprêtent à choisir les filières concernées et qui ne sont pas informés de tous ces changements !

Il serait donc raisonnable, madame la ministre, mes chers collègues, de repousser d'au moins une année la mise en place de cette réforme. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)