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7 avril 2009

Rapport N° 1582

des offices parlementaires, établi au nom de cet office, sur le dépistage et le traitement du cancer de la prostate

écrit par Bernard Debré rapporteur pour l'office parlementaire d'évaluation des politiques de santé
Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de Wikipedia 

Extrait

d'un test sanguin a révolutionné le dépistage du cancer de la prostate.

Alors que le test clinique antérieur était d'une mise en oeuvre difficile et ne décelait qu'une faible fraction des cancers prostatiques, le nouveau test sanguin, qui requiert une simple prise de sang, a permis un taux de détection du cancer de la prostate jamais atteint jusqu'alors.

Ce test sanguin permet de détecter une protéine fabriquée exclusivement par la prostate, l'antigène spécifique de la prostate (dite PSA). L'antigène spécifique de la prostate sert à liquéfier le sperme afin de faciliter le déplacement des spermatozoïdes.

Il est présent dans le sperme à la concentration de l'ordre de 1 milligramme par litre, mais il se retrouve à une concentration infime dans le sang (de l'ordre de 1 nanogramme (6) par millilitre). Son dosage sanguin est utilisé pour le diagnostic ou le suivi du cancer de la prostate.

Le nombre de dosages de PSA remboursés par l'assurance maladie permet de...

Consulter le document complet sur le site de l'Assemblée

(version pdf)

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