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Les amendements de Bernard Accoyer pour ce dossier

17 interventions trouvées.

L'ordre du jour appelle une déclaration du Gouvernement sur la conférence de Copenhague et le débat sur cette déclaration. La parole est à M. Jean-Louis Borloo, ministre d'État, ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de la mer, en charge des technologies vertes et des négociations sur le climat.

La séance est suspendue. (La séance, suspendue à quinze heures dix-huit, est reprise à quinze heures vingt-deux.)

Nous revenons au débat. Reprenez votre propos, monsieur Demilly. (Vives protestations sur les bancs des groupes UMP et NC.)

Monsieur Degauchy, veuillez vous asseoir ! Mes chers collègues, regagnez vos places pour que M. Demilly puisse poursuivre son discours.

Mes chers collègues, afin de ramener un peu de calme (M. Yves Cochet se lève pour se diriger vers la tribune. Vives exclamations sur les bancs du groupe UMP.)

Mes chers collègues, je vous demande, disais-je, une seconde d'attention. Tout à l'heure, nous avons assisté à une manifestation qui n'a rien à voir avec notre mission de parlementaires et d'élus représentant le peuple, bien qu'elle ait malheureusement reçu l'assentiment de certains d'entre eux. (Vives exclamations sur les bancs du groupe UMP.)

Les débats de notre assemblée doivent avoir lieu dans l'hémicycle ; je vous demande donc de faire preuve de tolérance et d'accepter, en dépit de certaines attitudes, que chacun des élus qui siègent légitimement parmi nous puisse s'exprimer. (« Non ! » sur les bancs du groupe UMP.) Monsieur Cochet, vous avez la parole. (Applaudissements sur de ...

Monsieur Degauchy, s'il vous plaît ! (Les députés du groupe UMP continuent d'apostropher certains membres du groupe GDR.) Mes chers collègues, je vous en prie ; écoutons le rappel au règlement de M. Jacob.

Je prends bonne note de votre intervention, monsieur Ayrault. Je vous rappelle néanmoins que, si des billets de séance ont été attribués, ils l'ont été par un certain nombre de nos collègues. Monsieur Cochet, vous avez la parole. (Vives exclamations des députés du groupe de l'UMP, qui quittent l'hémicycle.)

La parole est à M. Serge Poignant, pour le groupe de l'Union pour un mouvement populaire. (Mmes et MM. les députés du groupe UMP rentrent dans l'hémicycle et regagnent leurs bancs. « Les revoilà ! » sur les bancs du groupe SRC.)

Mes chers collègues, je vous en prie ! Vous avez la parole, monsieur Poignant. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

Mes chers collègues, avant que les présidents de commission ne s'expriment et après que les orateurs de chacun des groupes se sont eux-mêmes exprimés à la tribune, je voudrais vous préciser, après les incidents particulièrement graves que nous avons connus au cours de cette séance et qui m'ont conduit, selon l'usage, à la suspendre immédiatemen...

Monsieur Cochet, vous m'avez demandé la parole pour un fait personnel. Je vous rappelle que les prises de parole sur les faits personnels ont lieu à la fin de la séance. La parole est donc à M. Poniatowski.

La parole est à M. Christian Jacob, président de la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire.

Monsieur Cochet, vous aurez la parole pour un fait personnel à la fin de la séance, c'est-à-dire en fin d'après-midi !

Je ne joue pas sur les mots, c'est le règlement ! Vous le connaissez ! Je crois qu'il a été suffisamment malmené aujourd'hui pour que je l'applique avec rigueur ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.) Je vous rappelle que j'ai convoqué le Bureau avec un représentant de chacun des groupes et que la réunion va se tenir maintenant à...

La séance est suspendue. (La séance, suspendue à seize heures trente-cinq, est reprise à dix-neuf heures, sous la présidence de M. Marc Le Fur.)